Tout se joue
au ventre
qui boit la terre
N’affirme pas
que tu n’as pas peur
il y a des tâches de soleil
sous tes paupières
à la recherche de leur centre
et de leurs saisons claires
elles ne savent plus ce qu’elles taisent
sinon l’agonie des poissons-veilleurs
dans la mare de ta nuit solitaire
et tu mesures le poids des pleurs
à la balance capricieuse de l’aube
et à la moiteur de tes mains de glaise
Barbara Auzou.
Comme c’est beau Barbara ! Un ricochet de lumière que ces tâches de soleil.
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Merci Josette.C’est très gentil à vous.
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C’est très beau… Oui, vraiment.
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Merci Laurence…
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Le fil sous terrain tourne en courant à contresens
La rotation solaire bute à sa base pyramidale
L’axe du sphinx Nil est pour rien
Ce n’est qu’un vent de sable glissé sous la peau pierre…
N-L
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Merci Alain…
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Davvero bello!
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Grazié Paola…
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