Voici Notre jardin bleu VII, fruit de ma trente-sixième collaboration avec le peintre Niala que vous pouvez retrouver ici. Notre jardin bleu VII est disponible à la vente ici.
Acrylique S/toile 61×50.
Ce que tu sais
Du monde
Et de l’abominable
Que tu me tais
Le grand coq de la lucidité
Me l’a chanté affable
Au seuil d’un matin comme une ronde
Improvisée sur l’obscur sillon
De la nuit des grands poissons
Morts en l’absence de soleil.
Alors, viens , dansons
Fais-moi bleue pareille
Et investie d’un pas convalescent
À épuiser la route de vœux brûlants.
Donne- moi des oiseaux à renaître
Qui coupent court à la rumeur des fenêtres
Trop ouvertes sur un monde si aigri
Et contre l’indécence
Qui suinte à la cuisse blanche de la jalousie
Vois encore comme on danse
Et comme encore on a surpris
Le grand pavot qui somnolait dans la poisse des fleurs.
Comme on défroisse les peurs
Dansons.
Comme on demeure debout sur des terres d’angoisse
Dansons.
Rien ne devance la couleur.
Barbara Auzou.
Tiens c’est drôle, je parlais des rondes en commentant le tableau, et ils dansent tous…
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Danse de vie…
Merci Julie…
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Les derniers vers sont particulièrement beaux… Oui, j’aime beaucoup.
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Merci Laurence
Mais mes mots , quand je travaille avec Niala, sont absolument liés au tableau et ne pourraient exister seuls…
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J’en ai bien conscience, Barbara. L’inspiration, l’interprétation ont un regard différent selon ce que l’on regarde… et partage.
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j’aime
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Merci Annie…
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Le silex au bord du vent se tourne. Hauts-bois Orée, orée. Resurgissez.
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On ne voyait plus que le vague qu’ils avaient étalés sous de faux-bateaux. Séparant l’inséparable sans que ça serait accepté. Une escadrille d’oiseaux bleus tirant un soleil étouffa l’ombre de son mépris. Jeter des pierres pour blesser est du ressort du mesquin dissimulé la pierre ici, comme l’antan rafraîchit et sort de l’égarement.
Il y a deux plantes en notre jardin qui ne peuvent éclore l’une sans l’autre. J’ai peint ce 7 les doigts gelés, l’encre a levé la gerçure avec le chaud de ta plume ma Barbara. Je t’aime à t’embrasser.
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Voilà qui me réchauffe le coeur…
Merci mon Alain…
Les cheveux qui sont l’âge de l’amour
comme le vin qui coule dans les doigts
Souviens toi, souviens-toi des fleurs de la terre…
Geoges Shéhadé…
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Triez et que soie la bonne
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Merci laplumefragile.
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Adresse
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Merci ma Barbara.
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A reblogué ceci sur Alessandria today.
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C’est beau ! Mais si, il est là le soleil, là-haut ! Il ressemble à une jolie colombe qui vient se mêler à la danse et apporter la joie et la paix dans ces corps dansants, oscillants, chatoyants.
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Merci la plumefragile!!!
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Pari brûle t-il ? Le PMU, son soleil en carton-pâte, ses bens de minuit, ses courriers du coeur, je t’assure qu’on ne badine pas avec l’amour. Ces corps lévitent…ils ne jouent pas à la baballe, chiens oui, mais que fidèles. Le soleil est vrai, la preuve en est dehors il pleut…
Merci laplumefragile.
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« Au premier temps de la valse
Toute seule tu souris déjà
Au premier temps de la valse
Je suis seul mais je t’aperçois
Et Paris qui bat la mesure
Paris qui mesure notre émoi
Et Paris qui bat la mesure
Me murmure, murmure tout bas….
….
Une valse à mille temps
Une valse à mille temps offre seule aux amants trois cent trente-trois fois le temps
De bâtir un roman au deuxième
Temps de la valse
On est deux, tu es dans mes bras
Au deuxième temps de la valse
Nous comptons tous les deux une-deux-trois
Et Paris qui bat la mesure
Paris qui mesure notre émoi
Et Paris qui bat la mesure
Nous fredonne, fredonne déjà…. »
… la, la, la !
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