La vie glissait jaune et d’extrême justesse sur le parapet de l’aube volant çà et là quelques heures au temps
À quoi bon encore le chant À quoi bon encore les couleurs la note brève et puis l’écho
Il aura fallu le lent éclairage sur la route chaude d’un matin pour que s’ouvrent enfin les yeux
Comme on arrache de sa tempe enfiévrée l’insecte occultant
Comme à l’alme caresse on tend le dos
Je me suis posé sur le canotier d’un homme heureux
Barbara Auzou
Au bord de marne le canotier glisse profond labour
des deux mains le jour geste la semeuse en chanson
Aux glaces de l’hiver l’été pulpe aux joues des fruits rouges
Quand l’éclusier tira la belle de son sommeil, les oiseaux blancs en nuée bâtirent des nids
pour garder la canopée en guise de piste d’atterrissage…
N-L
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L’atterrissage de paille et d’aube offrit le nid sûr d’un monde incertain…
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La garde veille le jour incertain de sa main main ferme….
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Merci Katia.
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Belle parole e immagine che suggerisce gioia
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Grazie Luisa
Sono convinto che la poesia sia un atto di resistenza e gioia …
Perché altrimenti lei sarebbe così impopolare?
I poteri non hanno alcun interesse immediato nel vedere la poesia sbocciare.
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Questo è tristemente vero.
Un abbraccio
❤️😊
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A te Luisa…
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la photo, le texte.. c’est beau, merci Barbara 🙂
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merci à toi, Frédéric…
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J’aimerai faire preuve d’un peu d’originalité dans mes messages mais à part c’est magnifique, rien ne me viens 💜
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Merci beaucoup Katia, tu es sincère alors ça me fait plaisir…
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