Viens avec moi
Ne nous réduisons pas à la question
À la rupture feinte et au visage du quoi
Les étoiles clignotantes nous envoient
Des désirs d’astres à repiquer sans crainte
Au corps et contre le corset étroit des cloisons
Entre les interstices de plâtre vois
La bête le poète et l’écureuil jouer au clair de lune
À des choses nues et parler aux pierres
Au loin un sentier s’affaire encore
À tendre sa main vers le ténu
Barbara Auzou
La main
Tient
Au plus ténu de sa promesse
Délassant le corset
En vol d’oiseaux
Nous irons aux abois les lauriers sont roses…
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Merci à TOI
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sublime, comme un astre qui brille, mais oui, tous ces soupçons d’amour qui scintillent, je les vois, comme je te vois.
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Merci à toi.
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A reblogué ceci sur Antonella Lallo.
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