Nous savions l’ombre démesurée
Mais ne savions pas la nourriture du cœur et le goût du blé
Entre les dents Le combat et l’outil du thorax contre la bête immonde
Nous nous sommes entièrement trouvés et nous nous comptons désormais
Au nombre des épis levés dans l’ardeur douce du cercle parfait
Un long travail se poursuit à cerner le monde
Et sa ronde lenteur qui a un goût très fin de fleur et de sel
Barbara Auzou.
Quadra dur
il a fallu passer par l’apprentissage de l’outil
le compas à la rose a été contraint sur son vent
tant les angles du rond l’ont écorché injustement
A l’épi plein
bleuet coquelique co…
N-L
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Fine fleur que sel qui trouva…
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Volant au moulin elle porte déjà en elle l’assurance du fournil…
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Le fournil …Toute mon enfance…
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Je sais…
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Merci Hélène Marthe
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Oh… Superbe…
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Merci Laurence
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« Cerner le monde », la quadrature du cercle.
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