Tes mots
Corolles sensibles
Et blessure lente
Qui se déploient en paraboles
Que le rêve alimente
Épousent la voussure d’un silence
Séculaire et sans apparat
Avec d’infimes précautions
Et dans la nudité première
De celle qui perçoit tremblante
La fragile frontière entre le dire
Et l’indicible je cueille la fleur
De l’informulé à ton front
Barbara Auzou
Au bord des feuilles d’acanthes que j’écarte d’un souffle trempé d’un sel fleuri
Je suis cette courbe attachante
Le burin et le maillet y ont écrit durant un moment de compagnonnage
En traçant certaine route aimée…
N-L
J'aimeAimé par 3 personnes
Beau
A se taire….
J'aimeAimé par 2 personnes
Merci laplumefragile.
J'aimeAimé par 1 personne
L’une des plus belles publications (image, poème, et réponse de Niala). Le tout est d’une lumière, d’un rythme, d’une expression de toute beauté. Merci à tous les deux. eva
J'aimeAimé par 1 personne
Merci à toi Eva…Je t’embrasse
J'aimeAimé par 2 personnes
Moi aussi, je vous embrasse tous les deux.
J'aimeAimé par 2 personnes
Ça me touche ce que tu dis Eva, merci beaucoup. Je t’embrasse.
J'aimeAimé par 2 personnes
Bravo et Merci pour la publication
J'aimeAimé par 1 personne
Merci à vous
J'aimeJ'aime
Très beau
Très sensible
J'aimeAimé par 1 personne
Merci Kalù
J'aimeJ'aime