Et les amours aimables et modérées avec leurs bras informes
dans les baraquements perdus sur la grève
sont recouvertes par le sable nu de sédiments
et par l’orgueil de leur solitude
Puis s’endorment sous le poids prodigieux de leur rêve
comme de grands corps échoués au désir horizontal
et si tu n’étais pas là à respirer au diapason
comme une étoile de mer confiante et étale
je jurerais que la saison nous fut fatale
Barbara Auzou
L’heure venue du sommeil des parasols
le sable réapparaît en l’absence de serviettes
au bord de route le parking rend le paysage
à part toi sous moi et nous en un seul
pas même un crabe qui s’y oserait
et si j’en juge à ton minois
je ne crois être une méduse
Contons les étoiles, Ma…
N-L
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La lune monte dans le ciel comme un fruit blanc
Bonjour mon Alain
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