On ne tournera pas en vain sur nos fables
après avoir désiré toutes les roses
les mains serrées dans l’amour on a
assez de doigts pour pallier les lacunes
entre les choses et écarter les capitons
de la nuit qui voudraient étouffer le jour
ne serait-ce que pour l’oiseau qui nous épie
derrière les feuillages et rêve nos métamorphoses
à l’identique
Barbara Auzou.
Délaissant la boîte à miracles, l’Esprit déboutonne le bouquet sans artifice
L’oiseau au premier rang de la veillée veille aux parfums…
N-L
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d’une vibration identique….
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C’est isthme…
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Une métaphore
est la métamorphose d’ une phrase… à une image…
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Merci beaucoup…Il a raison Philippe Noiret…
La poésie se reçoit avant de s’expliquer….
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Un oiseau qui rêve pour ceux qui ne savent pas rêver…
C’est très beau.
Je t’embrasse.
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Merci Francine
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assez de doigts
pour y jouer le rêve…
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