Photo: Julie
Tu lèves des fonds marins
là où la mer n’existe pas
pour me bleuir de l’intérieur
et répéter les corolles du coeur
sur le ressac surpris des jardins
Toi encore qui l’accompagnes de tes mains
quand il cède devant l’écueil des soirs
qui voudraient lui ravir l’absolu de son pas
et solder les filets de son orgueil avec tous ses poissons dedans
Barbara Auzou.
Onde marine que ta nuque imprime
Passe l’écaille rose dans l’éclat bleu
Une eau-forte
Que la presse tire de la pierre
La marque de tes omoplates au vélin lithographique illustre ce mouvement particulier du tronc que tu as dans la nage
C’est élégant…
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sourires mouillés
bras étendus
nous célébrons…
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Les sureaux d’évident
Un papier de soi aux extrémités conduit le bal…
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C’est très beau.
Bonne journée, JM.
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A toi aussi MVL…
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Clic-clac, c’est beau
Julie
Sourire dans la boîte…
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