
un seul nuage bouge au-dessus de novembre
trop défait d’amour pour avoir un seul regard
on voit naître aux feuillages sa plainte déçue
les meules depuis longtemps ont cessé de tourner
et à la limite de ce qui peut être nommé
il y a toi
ce nid imprévu appuyé sur le mien
où nous couchons nos vives déraisons
et sa texture n’admet aucune alternative
à ce halo d’ailleurs tranquille qui l’entoure
Barbara Auzou.
C’est magnifique…
💙💙💙
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Les nids imprévus ont peut-être cette grâce-là…
Merci Francine
Je t’embrasse,,,
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Je t’embrasse itou…
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Merci beaucoup pour cette poésie qui enchante cette fin de journée dominicale, très bonne soirée, bien à vous, Louise Salmone
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Merci Louise
A vous également
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Une sacrée belle déclaration d’amour dans un mois qui, d’apparence, le nie.
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merci
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