
on nous a menti
tout est à reprendre en chemin
le coeur mutilé du bois le souvenir d’un val sans retour
la rosée au vase de la nature le cerne sur le ventre surpris du jour
près de toi Douce à éloigner la nuit l’œil à raisonner l’espace dur
les décisions du vent s’arrièrent doucement au rythme de ta pierre franche
tu n’en as pas fini avec les roses tu es au coeur de l’été c’est certain
Barbara Auzou.
Magnifique ronde des éléments, sur vos ailes aimantes.
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Alors c’est l’air qui l’emporte toujours…
Merci Alexandre…
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