
Elle, miroir, et si gardée
Que les herbes atroces fuient
Où vont l’attente la torture.
Un arbre ne tient dans la main creuse du chemin
Qui de vieillesse devient route.
Elle a gemmé, femme sur l’eau
Immobile à la surface, goémon
Nue, aveu de l’air qui de plaisir devient orage.
Qui l’eut crue, elle inonde de sa présence…
N-L
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Oui…
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E’ bellissima!
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si! grazié Franco
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Quel écrivain, quel poète, quel homme ! merci, très bonne journée, louise salmone
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Tout à fait..
Merci Louise
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