
quand le soleil reviendra lécher le sable
il ne me posera pas de question il sait
dans le geste la part d’éternité il sait
où j’écris
la maison de mousse qui me reçoit
il faudra nous faire assez de peau
pour que la nuit
longtemps tourne dans nos coeurs
ses enfants inlassables et ses coutumes d’oiseaux
Barbara Auzou.
Ce moment où l’oiseau bat le sable pour son empreinte est à l’angle du levé d’ancre
L’écriture au casse de l’alphabet d’origine
Un pouls c’est tout
Étreinte en boucle..:
N-L
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un pouls oui…
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Les tôles martelées de la voix qui s’extirpe des forges, dissolvent le brouillage du à la traversée du tunnel
Et venant de l’intérieur le rêve se manifeste haut et clair sans intermédiaire
Direct de l’un à l’autre…
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une part d’éternité qui fait la nuit belle
et les jours aussi…
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C’est ce qu’il faut aux enfants inlassables…
Merci Francine
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J’aime beaucoup
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merci Catherine
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Este conjunto de poemas podrían configurar un poemario de calidad..felicidades!
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Gracias muchos Ana…
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dans le geste
la part d’éternité…
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