Huahine / Polynésie française

à l’ombre des amandiers je me suis frottée à la fleur un peu folle
d’un vieux rêve et j’ai couché mes heures humaines sous le vent
de sa fête lumineuse si proche et si lointaine
était-ce l’atoll surélevé de ses séductions
le pacifique de ses chansons lancées par ses grandes baies ouvertes
ou le collier tressé des ses jubilations marines se dénouant en terre fumée
soudain
chaque soir de terrasses et de fenêtres je reviens
lui redonner l’eau l’aile et les essors
et l’ultime oiseau dans le tiaré de sa voix
Barbara Auzou.
Je connais, et amusement des coïncidences, nous avons ressorti l’album photo Polynésie hier après-midi, alors qu’il était resté caché depuis plus de cinq ans….
Belle journée Barbara.
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Merci Régis…
bonne journée également.
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Pingback: Âme perlière – sourab titrés
Beautiful post
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Thanks
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Hanches affûtées pour les colliers de fleurs
le chien-fou traverse à la recherche d’un Gauguin
Sans trouver un nuage dans la mer
au fond de la conque la perle donne de la voix…
N-L
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Pas de nuage dans la mer…
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Dans la transparence aquatique je pêche à la main
la clarté du ciel…
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Que c’est doux et beau…
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Merci à toi Ann
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heures humaines de beauté et de tendresse…
Que c’est magnifique…
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la vie parfois est un animal tendre…
et c’est comme cela que je l’aime…
Merci Francine
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Le mot sensuel est le mot juste…
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Merci Caroline
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