
Ce qui patrouille
Dans la ruche parfaite
De nos cerveaux
Au déclin du jour
Fait des cellules pour le miel
Des rayons pour les mots
Et du travail instable de la chair
Bientôt éclot
La fleur extravagante du genou
Dont nous tentons loyalement l’ascension
Devant l’heure stupéfaite
Où prend fin tout discours
Où commence la mer
Barbara Auzou.
Que d’herbes dans le vrai et le faux du chant déployé
Sans tenir à l’olfactive perception c’est le bon moyen de s’y reconnaître
Je meuh, dit-elle la bonne voie
Je n’ai jamais vu une abeille pomper une fleur artificielle…
Bonjour mon soleil.
N-L
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