
Passée l’aventure d’une pluie
nous n’aurons pas renouvelé le manège
des astres mais déjà l’accalmie
sourd sous le versant clair
où je te trouve au tambour d’un cortège
célébrant les fleurs de lumière
qui visitent le langage à rebours
et font glisser l’âme au fond du corps
Barbara Auzou
Du sol s’essuyant les traces humides, je lis ta plume retournante en sol que les chevaux du manège ramènent au labour
Le ciel garde au coin de l’oeil la portée des mots en dépit des bavardages en coup de vent
La pépite ne se laisse pas pêcher comme une sardine en boîte au bas de rayon
En disant par la peau du tambour le coeur percute en rebondissant en seins balles à l’endroit précis où je me trouve
Le poème change la voie en se recentrant sur la tessiture de l’oreille absolue
Les oiseaux finiront de manger les miettes, l’enfant sort de chez le boulanger le vrai froment du peint.
Que ta poésie est étrangère aux paillettes chères aux poupées Barbie, me dit Ernesto engagé dans le rôle du Capitaine…
N-L
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BarbaraSoleil: merci tant! ✨❤️
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Merci à vous Vève
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