Lac Tékapo / Nouvelle-Zélande
grandie par les échancrures entre les verts et l’or
prête encore à me détacher mamelons des prés
et chatons à dénouer la gorge des paysages
je viendrai te convaincre de la terre sans lâcher
ta main qui me donne à boire
la florale réciprocité qui mue les rêves en navires
glisse au soir ses lupins sauvages
comme une épure
il est des paix et des parfums
à faire des années de douceur
dont on parlera longtemps
et je suis heureuse oui puisque toute chose
de la poussière de roches à mes seins
aux vagues survenues à mes mains
qui barbotent dans le même
est enfin devenue mystérieuse
Barbara Auzou.
Cette poésie qui claque au déroulé j’en reçois l’intime vibration depuis l’altitude qu’elle choisit pour échapper aux à-côtés récurrents
Arrive l’expression convaincante que notre vie n’a pas cessé d’être et que les stases du voyage tiennent des étranges perturbations d’esprit malin
Serre du sein gauche à l’arrondi du droit au jeu de bat long prisonnier
L’oiseau parade pour son oiselle
Beauté du ballet amoureux…
N-L
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Convaincre de la beauté…
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Convaincre et surtout en matière de Beauté est avendu
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J’adore la photo et le texte qui accompagne
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Merci Marina
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…parmi les lupins, Arsène sera convaincu 😊…
C’est très beau…
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Sans doute oui…
Merci Francine…
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