
déjà tes épaules dispersent le givre
l’effort du jour doucement se ternit
sous tes doigts qui dessinent des connivences
je mime la marche de l’ange tu ouvres
des oiseaux
à l’intérieur de mes tempes
le monde tourne ses agrumes
dans l’hiver redouté
je suis tes chemins d’oranges
et d’herbes folles qui mènent
au mystère de soi et à l’énigme de l’autre
Barbara Auzou.
Tout simplement magnifique. Et émouvant…
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L’hiver est un leurre…
Merci Francine
je t’embrasse
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Je t’embrasse itou.
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