
je n’y vais pas par quatre chemins
je viens je tends un fil sur la pente
cahoteuse
de la distance et du temps
je peaufine entre deux flocons
entre les creux et les pleins
je viens rassurée d’eau douce et de visions
la plume ferme du vol poussée sur la jubilation
du dos
je suis un oiseau
au plus haut du règne pulsatile
et je m’entends pépier au fin fond
de notre présence
Barbara Auzou.
Voir les anomalies du terrain montre qu’en cacophonie c’est plein d’espoir de se mouvoir hors du confus ambiant comme en noir
L’oiseau reste de sauvegarde…
N-L
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Ah! oui, être un oiseau…
J’adore…
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Sensations d’aile parfois dans le dos…
Merci Francine
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Ne reste qu’à s’envoler…
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ah mais oui…
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