
Pour celle qui a les mots et dont le regard s’inquiète
de la poussière
tu remontes le cours du temps celui des tempêtes
et quand elle est submergée par l’importance du peu
tu lui opposes la conscience d’un tout
Remontant de son genou à ses yeux
pour y lire la lisière de ton nom
les prémices de l’oiseau
Barbara Auzou.
J’aime la remontée elle tombe toujours bien
et dans ces jours pleins de vide
ça regonfle le mou du sol sur toute la gamme…
N-L
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