
Par quelle enjambée
Du temps pourrions-nous
Nous en aller pour vivre
Comme doit vivre la vie
Loin des périssables réalités
Et des pelouses dorées qui dorment
Sous un soleil pour une fois célébré sans bruit ?
Encore toucher du doigt l’être-ici cinglant
Et l’aile profonde dans le timbre d’une voix
Tout ce qui éclaircit le passage des heures
Une maison une fleur la moiteur
D’un genou sur lequel on pose une main familière
Une pensée en faction
Dans les yeux de l’enfant fatigué
Il y a un retour de chasse et de liberté
L’animal lent où s’évertue l’été passe sur l’échine du chien
Et sur le bel amandier d’un siècle de contradictions
Barbara Auzou.
magnifique…
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Merci Francine….
Il est temps de vivre….
Je t’embrasse
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je t’embrasse aussi.
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nous sommes la vie au sein de nos réalités périssables
peut-être ..
Merci Barbara
je t’embrasse
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Sans doute
Merci à toi
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Excellent et pile poil de circonstance…
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Merci Michusa
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