La Vague / Camille Claudel

et je reviens à chaque instant
vers une porteuse d’eau aux épaules de simplicité
et de ciel
parce qu’elle a les yeux ouverts comme personne
sur les songes et toutes les petites choses qui nous implorent
de rester parmi elles
parce qu’elle a des doigts de violon à creuser
des fontaines dans la pierre et ce qui veut dans ma voix
j’écoute à ses cotés couler les années et les mélodieuses
plaintes du vivant
dans l’étrange saveur de ses mains je bois
un repos lent qui m’agrée
Barbara Auzou.
je reste sans mots…..
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Ben dis rien ma Francine alors…
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et je t’embrasse…
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moi itou
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