
je t’aime je m’endors
tout parle et rien ne se dit
ce vœu d’unité que je porte aux hanches
je ne l’ai surpris
que dans le lieu clos d’une intimité
dans le bercement et l’avancée
dans la liberté qu’accorde la nature
à toute note vivante
une rêverie multipliante
qui s’enroule à l’élasticité
de tous les possibles
de tous les chemins
me tape droit au coeur bientôt
ce craquement de branches
cette main tendue intraduisible
la poésie qui est sans promettre rien
sinon une musique grattée dans l’être sonore
Barbara Auzou.
Pingback: Appartenance XVIII — Lire dit-elle – TYT
Merci pour cette douceur Barbara. Tes mots me font du bien. Le Covid nous rend visite pour la deuxième fois et ce n’est pas drôle.
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oooh…J’espère que ça va ma Filipa…
je t’embrasse fort
n’hésite pas à me donner des nouvelles par mail
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Je pensais à la faire, mais je ne veux pas te déranger. Hier, j’ai eu presque 40° de fièvre.
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Fais le Filipa,
je te répondrai ce soir…
Prends soin de toi
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🙏🏻💙
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simplement magnifique…
merci Barbara
je t’embrasse très très fort
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c’est moi qui te remercie Francine
je t’embrasse très très fort itou
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Superbe…
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Merci Marina…
Je t’embrasse
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