
longtemps j’ai essayé l’allégresse
robe inhabitée jetée par dessus l’épaule
avec plus ou moins d’adresse
et j’ai tenu mes rôles
dans les jours défaits
j’ai chanté devant des miroirs blêmes
sans comprendre le sens réel des mots
j’ai honoré des promesses
caressé de loin les linges les plus fins
j’ai dansé sur le grand corps de la mélancolie
et tout ce que je quitterai sans regret
aura la foulée d’un souffle
les mains apaisées de nos songes mêlés
cette plénitude le sais-tu
est d’autant plus douce
qu’on s’ingénie toujours
à la maintenir en-deçà
d’un vol d’oiseaux parfait
Barbara Auzou.
La douceur dans l’acceptation, la capitulation, une fois passé son petit goût aigre doux
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non pas la capitulation mais l’apaisement…
Belle journée Patrick
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Connais pas ce mot flûte … bonne journée à toi aussi bises
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Bien sûr que si…A chaque fois que tu allumes une cigarette…
Bises
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Oh là je mens plus que j’apaise ! 😉
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Pingback: Au pied d’un seul arbre LI — Lire dit-elle – TYT
absolument magnifique…
merci Barbara
je t’embrasse très très fort
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Merci Francine
Je t’embrasse très très fort aussi
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de bien belles images
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Merci à vous Susanne…
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