
par quel ordre de la lumière
me voilà encore étonnée d’oiseaux
adossée au temps et à tout ce qui ne meurt pas
dans les doigts de la nuit
et au pays de tout ce qui compte?
passe soudain une méditation qui vole
entière comme une peau retroussée sur son émoi
est-ce une métaphore ou un ange craquant dans le bois
descendu là pour nous donner la vitesse du vent?
est-ce l’âme du vivant dans un seul relent de résine?
est-ce l’amour qui vient dans les nids avec son besoin de racines?
l’histoire dira comment j’ai habité notre maison
et quel profil j’ai tendu à l’infini en rêvant avec toi
d’un poème
vertical
Barbara Auzou.
Un plaisir de me ravir à la lecture de vos vers bien conçus.
Recevez une étreinte affectueuse d’amitié du Pérou.
Lincol.
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Je prends volontiers l’étreinte affectueuse d’amitié du Pérou…
Merci Lincol Martin…
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🤗😃🤗
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Joyeux anniversaire !!!
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Merci Julien…
Mais…Comment le sais-tu?
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sur ton blog il y a une couverture de l’ un de tes recueils et une petite bio de toi 🙂
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Ah mais oui c’est vrai…
Merci Julien, cela me touche…Je m’apprête à donner mon premier cours de la journée et je m’attends à un chant impromptu de la part des élèves de sixième…Je porte toujours le masque, ça cachera le rose de mes joues…
Belle journée à toi…Je t’embrasse bien fort
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il me touche profondément, ce poème…
merci Barbara
je t’embrasse très très fort
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Tant mieux Francine..
Merci à toi
Je t’embrasse très très fort aussi.
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