Merci à Lelius qui m’a fait découvrir Ile Eniger

Ce n’est pas tant la solitude qui garrotte les vies,
mais le pain sec des morales,
la vieille fille des obligations,
la hache sur le monde,
le verrou des indifférences, les habitudes.
Et la normalité, ce collectif grégaire qui assure ses peurs,
confiture ses certitudes, enterre ses rêves.
Ombres de mort.
Alors vivante,
je marche dans la tension d’aimer qui me nomme jusqu’à l’insurrection.
Un torrent ceinture ma taille et mes seins,
je me courbe sous le vent, sans obscénité — vivante.
Du tournesol à la faim de l’oiseau — vivante.
Le soleil en plus.
Je marche loin des gestes de cire.
Peu de choses, mais tellement moi.
Je désabonne les grimaces, convoque les glaciers, acclimate les braises.
Ma rue principale n’abandonne jamais.
Je marche au centre du dessin.
Vivante.
C’est autrement dit. Et cette différence -insolite- quand on a tous le même fond, est certainement à suivre
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Je le crois…
Merci Patrick
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Je me réjouis de ton heureuse rencontre avec Ile Eniger.
Je t’embrasse
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C’est moi qui te remercie Lelius…
C’est une très belle rencontre.
Je t’embrasse aussi.
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Merci pour ce partage Barbara!
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Merci à toi Filipa
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