Photo Julie

rêveuses de maisons
de l’intimité d’une fusion
avec l’âme qui inaugure la fleur
dans la ronde des saisons
la sensation du vaste va de pair avec celle du profond
et les échos reviennent s’étreindre dans les mots du souffle
nos mains cherchent l’orientation des vents
nous ouvrons des fenêtres partout et pour longtemps
cherchant seulement comment habiter le monde
Barbara Auzou.
on peut facilement vivre en les yeux alertes de Julie et se nourrir dans la beauté de ton poème Barbara
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Alors j’en suis heureuse
ce jardin là ne doit pas se limiter à ma seule sphère Julien…
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je sais que ta poésie n’ a pas de limite sensorielle et c’ est ce qui me fait l’ apprécier…
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Merci Julien…
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Merci Julien 💙
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Sortant la boule perdue du monde de son pivot nous la replaçons d’aplomb de nos mains
la forant d’autres puits de lumière
la plantant de poésie en guise de couverture
la lavant dans les poings d’ô
la peignant l’arrêt au milieu du massacre
l’envolant en remorque du grand-cerf-volant
et la remplissant de sel en douve pour l’enfant
voilà ce que nous en faisons sans fin
Barbara, codeuse de sangtiment que le juste sommeil couronne de son espoir
comme la voie retrouvée volée à l’enfant
Assommé par le plomb de ces derniers jours je sors de la forge que tu es façonné d’art ferronnier
Alain
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La réalité est un nuage à cheval sur une femme…
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Quelle juste et splendide métaphore de l’avis qualifié de l’équin
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Très bon à sentir et à respirer, Barbara!
Merci!
Bises
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A toi merci Diane
Bises
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et quel souffle merveilleux…
merci Barbara et Julie, superbe duo…
je vous embrasse
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Nous aussi Francine!
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