
pour ne pas rester femme approximative
je t’ouvre au pétale qui manque au soleil
comme la mer rêvée deux fois finit par entrer en gare
si tu n’étais pas là je t’écrirais quand même
sur la pointe des fleurs d’amandiers en retard
ou sur les ponctuelles fleurs de lin
parce que tes mots de jardin sont plus intimement germés
que les autres et toujours leurs mains volent comme
Barbara Auzou.
Entre la femme qui se calque et la femme qui veut éclore tu te tournes face à la nature du lin dans l’autre
Le cheval à l’amble du soleil…
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absolument magnifique..
merci Barbara
je t’embrasse très très fort
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C’est moi qui te remercie Francine
je t’embrasse très très fort aussi
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