
la poésie n’épouse les contours de rien
c’est un plein dans des plis de pétales
passent des alezans au galop
on ne possède qu’une seule saison
de chute et d’escalade pour s’inventer
une vie
si peu d’oiseaux
pour la profondeur d’un chant
et le soleil des heures est un cillement
je te laisse pour longtemps
de mon coeur qui rêve plus loin
que les nuits
un chromatisme radical
Barbara Auzou
Du ton chromatique de l’harmonica par où tu déverses la direction de ton coeur je vois l’infini du même chemin…
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C’est beau!
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Merci ma Filipa
Je t embrasse
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J’aime beaucoup.
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Un grand merci Joel…
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tellement beau…
merci Barbara
je t’embrasse très très fort
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Merci Francine
moi aussi je t’embrasse très très fort
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