
nous voilà devant le chapitre de ce livre limpide
dans cette lumière cambrée au goût de sable
et d’abandon
je réponds à ton aurore de tout ce qui me déborde
le ciel laisse voir ses corridors vacants au matin
j’apprends les degrés avec mes membres
que l’âme seule peut appréhender
je tremble mais je mûris encore des soleils d’avenir
comme autant de torches que la mer éteint
je m’arrondis et je m’embosse escortée seulement
de mes propres preuves
de mes outres de silences
et de ton sourire
je porte à bout de bras un réseau de nécessités
toutes neuves
la boussole d’un monde qu’en secret l’on conçoit
et qui attendait qu’une parole l’ouvre
pour l’amener à l’échelle qu’il mérite
Barbara Auzou
mots mélanchiques et touchants,chère poétesse 👌
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Merci beaucoup Anita,
Je t’embrasse.
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😘
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de toute beauté…
merci Barbara
je t’embrasse très très fort
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c’est moi qui te remercie Francine
Et je t’embrasse très très fort aussi
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Pleurs de bonheur à ces mots émaux émotion
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Un grand merci Sylvain
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