cette succession de verrous
que le vent même n’ébranle pas
nous en viendrons pourtant à bout
le destin est réversible à souhait
l’oiseau mécanique
et les mers détiennent les secrets
des bords émus
portons à l’intérieur de nos âges
portons à l’intérieur de nos corps
cet enfant gai qui remonte les jours
à contre-courant
ménage des ouvertures partout
sur la peau du monde
sur son bleu qui nous boit
rien qui ne soit taraudé par les embruns
ne va mieux à la jambe rêveuse du voyage
sinon les muettes tectoniques de tes mains
debout sur mes eaux
Barbara Auzou
Lire dit-elle 
Et oui. En venir à bout. Merci Barbara
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C est moi qui te remercie Jean-Marc
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sublime…
merci Barbara
je t’embrasse très très fort
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C est moi qui te remercie Francine
Et je t embrasse très très fort aussi
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