Fugacité CCCXXVIII

Photo Julie

petit matin

la pierre parle avec le cœur que l’ombre ponctue

les frais celliers font leur gestes froids de garder

on ne sait quoi

reste l’espace immense des ailes pourtant

à consoler les paliers

à pénétrer les portes

quelques oiseaux d’arbres en arbres élèvent le niveau du printemps

 

Barbara Auzou

8 réflexions sur “Fugacité CCCXXVIII

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