
Avril Perpétuel de l’âme
Salue la lumière
qui t’ouvre les lèvres: ensuite
écarte les rideaux.(…)
Ne sois que souffles
et vois: une glycine
a débordé le mur.(…)
Pleines mains sur ce tronc,
écoute, équitable,
le silence, la sève.
Rien ne reste invisible,
dis à présent
le parfum des lilas.
Pluie fine, la chair en liesse,
la clairvoyante, réveille
un chant de grive.
Les ailes, le cœur,
laisse-les battre,
laisse-les battre ensemble.
toujours intéressant et musical..
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Oui..
Merci René.
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