
que ce ne soit pas
comme on glisse de la pente d’un toit
en oubliant l’horizon
que l’on embrassait d’un seul regard
et quand bien même nos mots d’eau
nos mots de riz semés incompris
dans les grandes pièces du vivre
c’est avec toi que je veux départir
avec tous les oiseaux ivres qu’on a levés
pour nourrir la lumière
si je dois asseoir à la grande table du monde
mon absence fière
et mon violent besoin d’être
j’occuperai la seule place près de la fenêtre
qui s’incline amoureusement vers l’artisan
juste de ton silence
et je coucherai mon enfance
dans tes mains lentes qui en gardent
la part la plus stable et la plus vivante
Barbara Auzou
Force vive, tu as bien raison.
Merci Barbara
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Merci Jean-Marc.
Je t’embrasse.
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Quelle merveille Barbara!
Belle et douce journée
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Merci beaucoup Marie,
A toi aussi!
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sublime…
merci Barbara
je t’embrasse très très fort
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c’est moi qui te remercie Francine
Je t’embrasse très très fort aussi
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