
il fait un jour dévoré de ciel
regarde mon amour il y a des hirondelles
dans les rues
elles caressent collectivement le visage
des oubliés livides
regarde mon amour elles occupent les chaises
vides et puis l’enfance
les carrefours du vent
l’enchantement brisé dans le mouchoir des déçus
elles lèvent les eaux sur le vivant à l’œil humide
pour éteindre la folie du feu personnel
et le muer en océan
Barbara Auzou
peut-être feront-elles le printemps…
merci Barbara
je t’embrasse très très fort
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les casseurs éclipsent la légitimé et le courage de milliers et de milliers de personnes belles de leur combat. Les hirondelles.
merci Francine
Je t’embrasse très très fort aussi.
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Prendre de la hauteur….et ne pas sombrer. Merci Barbara
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Merci à toi Jean-Marc
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