Vient de paraître sur Ah Ernesto, mon blog pédagogique…
4e
Continuité pédagogique au collège de Clères…
Vient de paraître sur Ah, Ernesto… Continuité pédagogique au collège Jean Delacour/ Clères…
Vient de paraitre sur « Ah Ernesto! » le premier article du blog consacré aux travaux de mes élèves….
La confrontation des valeurs dans les romans contemporains: Extrait de « Un homme ça ne pleure pas » de Faiza Guène joué par mes élèves de 4ème.
En 4ème4 ( Jade, Clara et Noémie)
En 4ème1 ( Emy, Iliana et Capucine)
Parodies du monologue de Don Diègue écrites et restituées par les élèves de 4èmes.
Carl en maître Kebbabier
Elise et le manque de sommeil
Clara et les problèmes…intestinaux
Louis et les jeux vidéos
Cassandre et le véritable monologue de Don Diègue.
Quelques parodies du monologue de Don Diègue en 4ème…
L’atelier poésie reprend du service…
L’Atelier Poésie 2019/ 2020 (Marc Chagall)
Dès que j’aurai trouvé la solution pour dégager deux heures de pause méridienne, l’atelier poésie ré-ouvrira ses portes en salle 128.. Sur une proposition de Suzane en juin dernier, jusqu’en janvier les élèves écriront à partir de tableaux de Marc Chagall…
Collège de Clères: article Paris-Normandie du 19 juin…
Dire l’amour en 4ème (fin):L’expression du bonheur amoureux…
Pour terminer cette séquence sur une note positive, ce matin c’était l’expression du bonheur amoureux avec « Que serais-je sans toi? » d’Aragon, 1956, (et le poème chanté par Jean Ferrat bien entendu) et « Avant de t’aimer je n’avais rien » de Pablo Neruda, 1959.
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu’un cœur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement.J’ai tout appris de toi pour ce qui me concerne
Qu’il fait jour à midi, qu’un ciel peut être bleu
Que le bonheur n’est pas un quinquet de taverne
Tu m’as pris par la main dans cet enfer moderne
Où l’homme ne sait plus ce que c’est qu’être deux
Tu m’as pris par la main comme un amant heureux.Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu’un cœur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement.Qui parle de bonheur a souvent les yeux tristes
N’est-ce pas un sanglot que la déconvenue
Une corde brisée aux doigts du guitariste
Et pourtant je vous dis que le bonheur existe
Ailleurs que dans le rêve, ailleurs que dans les nues.
Terre, terre, voici ses rades inconnues.Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu’un cœur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement.
j’hésitais à travers les choses et les rues :
rien ne parlait pour moi et rien n’avait de nom :
le monde appartenait à l’attente de l’air.II
Je connus alors les salons couleur de cendre,
je connus des tunnels habités par la lune,
et les hangars cruels où l’on prenait congé,
et sur le sable l’insistance des questions.
III
Tout n’était plus que vide, et que mort et silence,
chute dans l’abandon et tout était déchu,
inaliénablement tout était aliéné1,
IV
Tout appartenait aux autres et à personne,
jusqu’à ce que ta beauté et ta pauvreté
ne donnent cet automne empli de leurs cadeaux.
