La première poésie de notre vie
Fut un mamelon anxieux
De ne pas assez nous nourrir
Où l’on but goulûment la rumeur
Douce-amère des lendemains.
Dans le coeur fourragé
On entra plus hauts que laines
L’œil embué d’une tendresse opaque.
Certains y compteraient les moutons
De leurs déconvenues D’autres épouseraient
La bergère nue de leur émoi premier
Lui bâtiraient une maison avec un coq
Du matin au centre du désir
Barbara Auzou.
instant propre au mystère
où rien ne cherche à expliquer
voici l’éternité dans son hymen protégé
cette virginité demeure dans le feu de toutes les batailles
et leurs blessures….
N-L
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Les mille et une nuit d’une grenade ouverte…
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Que c’est propre à cette beauté ton image..,
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L’amour et la guerre
Le fruit et l’obus…
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Je fus un cas, non ?
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La poudre s’en remet à peine…
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De mèche avec
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Très original je trouve et très beau comme toujours
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Merci à toi…
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A reblogué ceci sur TYT.
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et mon coeur qui se serre
du matin, au centre
du désir…
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Les hautes oeuvres des basses -cours…
Merci Caroline
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