te rappelles-tu nos lendemains de sable
qui nous tiraient des chairs de beau temps
c’était modeste et fou d’être ce grand corps ensemble
qui goûtait à la texture subtile du monde
entre deux eaux
dans l’espace bref du baiser
et vois-tu rien ne s’en est allé vraiment
chaque pan de vent soulève encore une étreinte
chaque oiseau une ronde
le coeur se hausse toujours sur sa veilleuse parfumée
on s’ouvre seulement l’être sur l’aube
avec plus d’application qu’avant
pour rappeler la fête dans les veines doucement
pour que l’âme un instant
puisse la toucher d’une exception et se souvienne
que des arbres partout tournent dans ceux qui s’aiment
comme un chanceler perpétuel chauffé à blanc
Barbara Auzou
Magnifique! Merci à toi bonne journée et bisous 😘
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Merci Julie!
Belle journée à toi aussi et bisous
❣❣❣
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Belle photo en adéquation avec le texte. Tu vas rire. En ouvrant la page, qui donne sur la photo , j’avais cru voir en haut à droite les poils d’un pubis. Et comme les débuts du texte sont évocateurs …
J’ai adoré.
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Maintenant que tu le dis…Oui c’est vrai…
Un grand merci Harry
Belle journée 💙💙💙
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C’est très beau Barbara. Merci ❤
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C’est moi qui te remercie Laurence
Belle journée à toi
Je t’embrasse💙💙💙
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L’amour, cet espace infini ! Merci Barbara !
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Eh oui , il se peut bien que ce soit le seul…
Un grand merci à toi Daniel
Je t’embrasse…
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Un grand merci à toi Juan
Douce journée
Je t’embrasse bien fort 💙💙💙
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profondément touchant… et magnifique …
merci Barbara
je t’embrasse très très fort ❤️❤️❤️
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Merci à toi Francine
Je t’embrasse très très fort aussi
❤❤❤
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