Il est toujours dimanche à l’horloge complice
Comme pour s’assurer que rien ne recommence
à l’édredon et en respirations factices
sous l’aile qui couve le bourgeon en dormance.
Vois l’hiver ranger ses morts avec attention
la douceur blanche de son égard à tracer
au cordeau la parcelle, à la neige le nom
cinglé de légendes pour ne pas oublier.
Sais-tu, toi qui ouvre des yeux pleins de Printemps
Que le fossoyeur blanc n’accorde son pardon
qu’au crépuscule des doigts , écorces du temps?
Barbara Auzou.
Bon jour,
Le fossoyeur au cachot des regards ouvre la terre à l’argile et les larmes du temps ce cendre sur les os dépolis, la Lune prie devant les feux follets embrassant la nuit aux mains froides …
Max-Louis
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merci Max-louis…
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Ballade des pendules d’un dimanche sur ses talons 👠 pense à mi, passe en boucle sur le cou loir. L’ibere nation ecreme catalane ? Que nenni un manuel natif de fa là, compose la musique utérine du sacre du printemps…
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Ballade des pendules d’un dimanche sur ses talons 👠 pense à mi, passe en boucle sur le cou loir. L’ibere nation ecreme catalane ? Que nenni un manuel natif de fa là, compose la musique utérine du sacre du printemps…
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Le fossoyeur? Qu’est ce que c’est?
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Celui qui creuse les tombes des morts!
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Merci 🌻
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Je twitte
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Bonjour Jean-Pierre..
D’accord…
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